Gideon J. Trenston

Qui suis-je ? Ça n'a pas grande importance, ou sommes-nous ? Ne vous en préoccupez pas, nous sommes là où personne ne nous trouvera. Mon but ? Vous ficher, tous autant que vous êtes, j'agis pour des gens dont vous ne soupçonnez même pas l'existence et je suis ici pour vous recenser. Ne vous inquiétez pas, vous serez relâché dès que nous aurons fini et vous pourrez retourner vaquer à vos petites occupations comme si rien ne s'était passé.

Faites moi confiance et répondez à mes questions sans broncher.

Nom : Trenston
Prénom(s) : Gideon Jasper
Surnom(s) : Gey
Date et lieu de naissance : Le 16 avril 1969
Taille : 1, 83 M
Poid : 80 Kg
Couleur des yeux :bruns
Couleur des cheveux : châtains
Clan : Gorgeônes
Signes particuliers :
Très bien, c'est noté, passons aux choses sérieuses.

Racontez moi l'histoire de votre vie :

Neuf ans sous la neige.

- Dégage sale pleurnichard!

Le garçon poussa rudement son cadet qui commença aussitôt à sangloter. Il n'avait rien fait pour provoquer Gideon cette fois! Il jouait dans son coin avec ses soldats, il ne criait même pas!

- Gideon! Pourquoi tu lui fais mal! Il t’a rien fait!
- La ferme! De toute façon, y en a pas un pour rattraper l'autre, je vous déteste tous, vous me dégoutez!

Les enfants se turent et le regardèrent, effrayés et blessés. C'était la première fois que le brun parlait avec autant de venin...

Gideon n'attendit pas de réponse et sortit en trombe du salon, claquant violemment la porte.
Il en avait marre, MARRE! Marre de cette ambiance, marre de ce foutu sapin ridiculement décoré, de ces chaussettes pourries accrochées au montant de la cheminée, des bonds mièvres et puérils des autres parce que c'était bientôt Noël...

Marre des souvenirs qui revenaient le hanter à cette période, en particulier ce jour... Le vingt-deux décembre...

Des mains qui soulèvent, des mains chaudes, des baisers sur ses joues, un rire tonitruant et grave, une bonne odeur de gâteaux...

- CHIER!

Il prit son manteau et sortit, incapable de rester un moment de plus dans l'orphelinat. Dehors, il y avait juste du blanc, du blanc s'enfonçant sous ses pas, le bruit du vent si froid et le ressac des vagues contre les pieds des falaises. La neige tombait en légers flocons et il leva son visage, accueillant la fraicheur et l'humidité sur ses joues, ses lèvres, ses paupières...

Là il pouvait se laisser aller, faire tomber le masque du petit emmerdeur et... se rappeler du temps où il n'était pas qu'un orphelin, un laissé-pour-compte, où il avait une famille qui l'aimait et...
Il se frotta énergiquement les yeux et avança, reniflant. Il ne pleurerait pas, il était grand, il avait neuf ans maintenant!

Et personne pour les lui souhaiter...

Pas de bras et de baisers si chauds, pas de rire chaleureux...Juste le froid de la neige et la pureté glaciale du tapis blanc sur la falaise...

Mais c'était toujours mieux que la fausse chaleur d'un foyer qui n'était pas le sien.
Il ne voulait pas entendre les rires enfantins et bruyants des autres, leurs éclats de voix... Parce que c'était faux! Ils pleuraient tous à l'intérieur, tous! il les entendaient, la nuit... Une fois les cadeaux faits, le repas et les friandises dévorées et les histoires racontées, ils serraient leurs jouets préférés, se rencognaient sous leurs couettes et sanglotaient le plus discrètement possible, seuls de leurs côtés... Pensant à d'autres Noëls, qui avaient été, ou qui auraient pu être si...
Non que la gouvernante soit une mauvaise femme, non, c'était la plus gentille et aimante des mères, et … tout comme les autres, l'adoraient!
Mais ce n'était pas sa mère...

Il arriva en vue du bout de la falaise et s'arrêta, se raidissant.
Une petite silhouette était debout, à quelques centimètres du vide. Une frêle forme aux cheveux mis long voletant dans le vent. Le brun hésita puis ses yeux marrons se rétrécirent, déterminés. Il irait là ou il voulait aller, point-barre, tant pis s’il y avait ce fils de Menissiors! De toute façon, ce type était l'être le plus silencieux et discret qu’il n’ait jamais rencontré!

L'autre garçon lui jeta à peine un coup d'oeil quand il arriva à sa hauteur puis retourna à la contemplation de l'horizon. Curieusement, il ne faisait pas du tout étranger dans le cadre... On l'aurait cru faisant parti du décor pour toujours, un esprit de l'hiver avec son délicat visage si sérieux et lointain pour celui d'un enfant et son regard oscillant sans cesse entre différentes teintes de gris et de bleus...

Et quand on connaissait son caractère, on y croyait d'autant plus...

Gideon sentit une vague d'irritation le secouer; il ressentait toujours une espèce de sourde colère quand il voyait le solitaire enfant, le seul à ne pas le craindre, son rival! Et comme il avait en plus besoin de se défouler pour oublier son coup de blues...

- Alors, encore la trouille de sauter!

Un reniflement lui répondit. Ce n'était pas encore assez pour Gideon ; il voulait plus que ça!

- Qu'est ce que t'attends, hein! Ce n’est pas comme si tu allais manquer à quelqu'un de toute façon!

Il vit avec satisfaction l'autre se crisper légèrement. Encouragé, il asséna le coup de grâce, la phrase qui faisait invariablement sortir l'autre de ses gongs, et ce depuis plus de deux ans maintenant... La remarque qui entraînait un combat entre les deux garçons, toujours... Et Gideon avait besoin de frapper, besoin de colère, de rage, besoin d'une réponse à sa rage!

- Ouais, depuis que ta chère Carrie est partie, ya plus personne pour toi! D'ailleurs, si elle s'est barrée, c'est qu'elle en avait marre de toi!

Cette fois l'autre garçon se retourna d'un bloc, frémissant de colère. Ses yeux étaient passés au bleu turquoise et son souffle s'était accéléré, se transformant en petits nuages blanchâtres. Gideon banda ses muscles, le regard et le sourire mauvais.
Mais contrairement aux prévisions du brun, le fils de Menissiors se contenta de le fixer, se détendant peu à peu. Puis il finit par soupirer et dire, de cette douce voix presque murmurante qui le caractérisait.

- Ce n’est pas parce que t'as personne pour te souhaiter ton anniversaire que tu dois te sentit obliger d'emmerder les autres...

Gideon s'immobilisa, choqué. Ses yeux s'écarquillèrent et il ouvrit la bouche, voulant répliquer, rétorqué quelque chose qui fasse aussi mal que les paroles de l'autre, n'importe quoi!
Mais rien ne vint... Parce que s'entendre dire la vérité nue, comme ça, sans fioritures, sans pitié, sans tentative pour rendre le fait moins douloureux à encaisser...

- ... Salopard...

Le visage de Gideon se crispa, et malgré toute sa volonté, il ne put cacher les larmes à son jeune rival qui le regardait toujours... Il enfouit sa tête dans ses mains et cracha, la voix tremblante.

- Salopard!

Il devait cogner, se venger! Il voulait fuir, partir loin et pleurer, crier... Il avait honte, il avait mal, il avait froid, il était si vide... Et tout le monde le savait... Son ennemi, son rival le savait... Il avait lu en lui, avait franchi ses barrières et pouvait voir à quel point il était pathétique, triste, effrayé... Et seul...

Mais il reste là, à sangloter comme un bébé, se sentant encore plus minable que son souffre-douleur qui lui, avait le courage de verser ses larmes sans honte...
A quoi bon s'interdire de pleurer si on n’y arrivait pas?

Une main se posa sur son bras et il la rejeta violemment.
Un moment plus tard, la main revint, encore plus hésitante que la première fois. Gideon leva le visage de ses bras, méchant et blessé, dans l'intention d'insulter, rejeter, voire frapper de toute ses forces le petit enfoiré!
... Et il se retrouva fixant stupidement une barre de chocolat. Il regarda l'autr enfant, méfiant, mais le garçon avait les yeux fixés sur l'horizon, mordillant lui-même une friandise. Gideon attendit un petit moment, puis voyant que la main ne se baissait pas et sachant les plaisanteries et les coups fourrés étaient très peu dans le style de l'autre, il la prit avec précaution.

Il essuya ses joues d'un geste vif et mordit, grimaçant à la dureté rencontrée par ses dents.

- Vaut mieux la sucer, t'arrivera pas sinon...
L'informa l'enfant d'un ton absent, toujours sans le regarder.

- Je fais ce que je veux!
Cingla Gideon.

Mais il suivit le conseil, menaçant l'autre du regard s'il disait le moindre truc... Ce que son rival ne se fatigua pas à faire...

Ils restèrent un moment ainsi, savourant le chocolat. Puis Gideon ricana. N'attendant pas le coup d'oeil interrogateur de Mathias il renifla.

- Du chocolat hein? Le truc de Carrie pour te réconforter... Je dois être content que tu partages! Parce que si c'est de la pitié, tu peux te la garder!

- Fallait pas manger alors.
Répliqua l'autre, sans se démonter.

Gideon serra les poings, furieux, mais refusa de lâcher le morceau.

- Et après quoi, hein! Tu vas me prendre dans tes bras en me disant des conneries, que je devrais être content d'être en vie et de fêter une autre année, que la vie continue et que je dois être heureux pour mon père et ma mère qui regarde du ciel, c'est ça!

Le fils de Menissiors daigna enfin le regarder, le visage sérieux.

- Ce n’est pas de mensonges que tu as besoin. Nos parents ne sont pas là. Ils ne seront plus jamais là. Et t'as pas à être heureux pour eux, ils sont partis. Tout comme Carrie est partie. On est des orphelins, personne ne nous veut et on va être envoyé dans une académie militaire pour devenir de la chair à canon, parce que c'est les personnes comme nous qui doivent être sacrifié en cas de guerre, pas ceux qui fêtent Noël et les anniversaires dans leurs familles. Si tu veux des câlins, ne viens pas me trouver Gideon. Parce que je sais ce qu'il en est, comme la gouvernante, et sans doute les autres, mais je me voile pas la face, et je ne compte pas faire semblant, surtout pas devant toi. Je cherche plus le bonheur, ce n’est pas pour moi. C'est pas pour toi, ce n’est pas pour Gwen , pas pour Denis , pour aucuns d'entre nous. Et si eux veulent le trouver, moi, je n’en veux pas... Parce que quand tu le trouve, tu le garde juste assez longtemps pour ne pas supporter quand on te l'arrache...
Murmura-t-il en conclusion.

Puis il se tût et retourna à sa contemplation... Mais Gideon aurait juré voir ses yeux briller...
Et il ne se moqua pas... Et quand bien même il l'aurait voulu, il n'aurait pas pu. LE fils de Menissiors venait de dire sa plus grande tirade depuis qu'il le connaissait, et c'était les mots les plus durs et les plus vrais qu'il ait jamais entendu.

Et bizarrement, il se sentit mieux.
Son regard se durcit.

- Tu crois que je ne suis pas fait pour le bonheur, hein? Et ben, je vais te dire un truc: rien peut me fuir, t'entends! Alors je vais l'attraper, et l'attacher à moi! Non, à nous tous, tout l'orphelinat! Il ne pourra pas s'échapper! Et même si ce que tu as dis, c'est vrai, ben je refuse de me laisser faire! Je me battrais! Et je prouverais à tous, qui je suis, et ils se mordront les doigts de pas m'avoir voulus! Mes parents se mordront les doigts d'être partis!

Il fit un pas en avant, ses orbes marrons brillants de défi. Les mains en porte-voix, il hurla à la face de l'horizon.

- VOUS ENTENDEZ! JE SUIS GIDEON JASPER TRENSTON
! ET BIENTOT, VOUS SAUREZ TOUS QUI JE SUIS! VOUS SAUREZ TOUS CE QUE JE VAUX! JE FERAIS TREMBLER LE CREATEUR, LUI-MÊME!

Il finit, haletant et se tourna vers l'enfant aux yeux azures . Le petit le fixait, le regard écarquillé de surprise...et d'autre chose... L'incrédulité et tout au fond... L'espoir?
Gideon lui fit un sourire confiant et arrogant, ce sourire qui allait devenir sa marque de fabrique.

- Je te défie, fils de Menissiors! Je te défie de chasser le bonheur, de le trouver et de l'apporter aux autres avant moi! En tant que rival, tu ne peux refuser! Et le meilleur moyen d'attirer le bonheur, c'est de le rendre jaloux! Donc, je vais rentrer et fêter mon anniversaire, puis Noël avec les autres! Et ils auront intérêt à tous être là! On va appâter le bonheur! Et c'est à celui qui l'attrapera en premier!

Sans attendre la réponse, il tourna les talons et repartit fièrement vers l'orphelinat.
l'enfant le regarda s'éloigner un long moment. Puis il se mit à courir.
Arrivé à la hauteur du brun il lui tapa dans le dos et lui lança avec un sourire moqueur.

- Joyeux anniversaire, Gideon Jasper Trenston

Avant de le dépasser.
Le moment de surprise passé, Gideon sourit encore plus déterminé et sprinta lui aussi pour gagner la course.
Car le challenge était relevé... Et il était hors de question qu'il perde!

Bon, comme tout le monde certains faits ont dû marquer votre vie décrivez m'en un en détail :
Autrefois, alors qu'il n'étais encore qu'un tout petit garçon, Gideon connut une femme…elle tirait une charrue dans laquelle il y avait plein de vieilles bricoles et au milieu de tout ça, il y’ avait un petit garçon…Cette femme avait l’air très pauvre mais curieusement, le gamin dans la charrue tenait dans ses bras un jouet très luxueux ainsi que des habits très classes. Et puis un jour il vit un couple accompagné par la police s’en prendre violemment à cette femme au sujet de l'enfant…
Pendant que la femme était à genou à terre en plein milieu de la rue il entendait les gens autour de lui qui la toisaient parler à son propos
- Pfff…pauvre folle…il faut vraiment être cinglé pour kidnapper un petit garçon de cet âge…
- Tu m’étonne…j’ai toujours pensé que c’était son fils…
- Mais pas du tout… en fait, il y’a quelques années son mari est parti avec l’enfant qu'elle avait mise au monde et il c’est remariée avec quelqu’un d’autre…depuis ce jour, elle est devenu complètement dingue…et c’est aussi la raison pour laquelle elle kidnappe les enfants qui doivent avoir un peut prêt le même âge que le sien…
- La pauvre… pourtant, à la voir comme ça, on ne dirait pas qu’elle est dérangé mentalement…
- Moi, je pense au contraire que c’est dans ce genre de situation qu’il faut savoir être forte…

Après cet évènement la femme en question se donna la mort en se jetant devant une voiture, Gideon était présent quand c’est arrivé beaucoup de gens étaient là, surtout ceux qui avaient parlé dans son dos, ceux qui avaient dit tant de mal au sujet de cette femme qui souffrait.
C’était la première fois qu'il voyait quelqu’un mourir sous ses yeux et en resta assez troublé…Quelques instant avant, alors qu'on venait de lui arracher l'enfant qui l’accompagnait, elle avait séché ses larmes en voyant Gideon et s’était approché de lui avec un sourire radieux sur son visage plein de terre en lui disant ces mots.
- Salut petit…prends ça…c’est pour toi… tu sais que tu ressemble beaucoup à mon fils ?
Elle lui avait donné une sucette recouverte elle aussi de terre et quelque instant après on entendit cette voiture freiner, le temps que Gideon ne se retourne elle gisait en plein milieu de la rue et plusieurs personnes se mirent à courir vers elle.

Ce soir là Gideon surpris son père en train de pleurer…et il déchirait quelque chose.
Curieux de savoir se qui l’avais mis dans un tel état le jeune garçon attendit qu’il s’endorme, pour ne plus jamais se réveiller, épuisé par ses pleure, les médicaments et l’alcool et entra dans sa chambre, par terre se trouvaient la photo d’une femme et d’un enfant, l’enfant, il lui semblait que c’était lui, quand à la femme c’était celle qui lui avait confié la sucette avant de se jeter sur la voiture.
Au début, il ne comprenait pas pourquoi cette femme le tenait dans ses bras…mais les larmes de son père étaient la réponse à cette énigme.
Même son père, la personne la plus impudente qu'il connaissait, avait du se sentir coupable…
Si non il ne l’aurait jamais su. C’est depuis ce jour qu’il passe son temps a se battre avec tout le monde.
Il ne veux pas être aussi faible qu’eux…
Mmh... D'accord. Maintenant côté caractère, comment vous définiriez-vous ?
Gideon possède un côté individualiste extrêmement prononcé. En lui, il y a toujours quelque chose du libre étalon. C'est dire qu'il ne sera pas facile de lui faire accepter le mors et qu'il regimbera souvent à toute directive trop impérieuse ou trop restrictive. En effet, son esprit d'indiviualisme, son dynamisme, sa capacité de voir loin et large s'accommodent mal des entraves à sa liberté d'action.

Il adore les responsabilités, il refuse d'être pris en charge : il n'aspire qu'à s'assumer lui-même, quitte à pécher parfois par un optimisme exagéré.

Ses rapports avec l'autorité, quelle qu'elle soit — parents, professeurs, supérieurs hiérarchiques, pouvoirs publics — sont toujours plus ou moins tendus. Son attitude parfois frondeuse fait dire qu'il manque de tact. Mais en revanche, lorsque il est lui-même investi d'une autorité, il souhaite que les autres prennent celle-ci dûment en compte.

Il n'aime jamais marcher dans l'ombre de quelqu'un. Au fond, il se sent assez libre, assez fort pour pouvoir exister par lui-même. Il n'a pas besoin de quelqu'un qui le réconforte, ni d'un protecteur, ni d'un guide.

Son intelligence est surtout lucide et logique. S'il lui arrive parfois de céder à des colères fracassantes, du moins n'y a-t-il pas de réelles manifestations d'hostilité. Il cherche simplement à s'affirmer.

Gideon est trop direct pour ne jamais se perdre dans des méandres existentiels, et il n'a pas pour habitude de ruminer le passé.

Enthousiaste à l'extrême et désireux de réussir, il est toutefois suffisamment conscient de ses chances de succès. Il est doué de la capacité de s'adapter aux circonstances et de les utiliser comme tremplin. Pas émotif pour un sous, il ne connait qu'une grande colère à la suite d'un brutal échec, mais il ne se laissere pas abattre : il attendra ses forces pour repartir.

De nature colérique, il s'enflamme vite, et il lui arrive souvent de devenir plutôt dangereux, mieux vaut ne pas le provoquer, ce qui n'est pas évident car il s'enflamme pour presque rien.

Il est animé par une puissante passion. Mais sa passion n'est pas brute et débordante : c'est plutôt un feu qui couve sous la cendre, qui dégage plus de chaleur que de flamme. Elle se traduit par le goût du risque, le désir d'abolir les contraintes qui lui sont imposées.
Eh bien ! Dites moi maintenant pourquoi avoir rejoint ce groupe plutôt qu'un autre ? Si si je vous assure j'ai besoin de le savoir :

Au départ Gideon avait penser suivre la mauvaise voix car il était encore jeune et plein de contradictions, de plus Les Gorgeônes n’avaient pas grand-chose à voir avec ses idées de petit enfants mais finalement, il se sentait à sa place et dans son élément auprès d’eux. C’est sans doute simplement leur façon d’agir qui l’a attirer, cette force d’actions, les moyens qu’ils emploient pour obtenir se qu’ils veulent l’avait toujours fasciné et il s’était toujours senti la force d’un dominateur.
Et vos capacités alors ? Vous savez bien de quoi je veux parler, vos pouvoirs ou aptitudes spéciales ?
Depuis tout petit, le père de Gideon l'avait trouvé particulier, il était capable de sentir les chose bien mieux que lui, ça vue avait toujours été plus qu'excellente et son ouïe semblait aussi fine que celle d’un chien tout comme son odora. Plusieurs tests avaient démontré que ses capacités d’utiliser ses cinq sens étaient fort développées. Il reconnaissait l’odeur d’un aliment ou d’un parfum de pleur ou de fruit de loin sans presque jamais se tromper, pour le reste il ne pouvait compter que sur sa mémoire des odeurs. Il voyait venir les choses de loin avant même que son père puisse les apercevoir et à toujours eu quelques difficultés avec les lumières trop fortes, par contre il à une bonne visibilité dans le noir s’il n’est pas complet. Le plus difficile pour Gideon au fil des années à du être d‘élever son seuil de douleurs à la normal avant de l’élever encore un peu plus pour pouvoir supporter pas mal de dégâts, cette difficulté est du à une grande sensibilité au sens du touché. Ses dons le rendent aussi très difficile pour se qui est de l’alimentation ou la boisson puisque son goût est aussi très développé, Gare au cuistot qui ne parviendra pas à satisfaire son fin palet.
Hé ! Vous là-bas ! Qui êtes-vous ?

Age : 21 ans
Sexe : Masculin
Niveau de RP : 6/10
Comment êtes-vous arrivé ici ? j’ai trouvé le forum sur un top site
Votre avis sur le forum : l’idée est pas mal, le design est sobre, le contexte est plutôt recherché
Un commentaire ? J'ai fais expret de garder anonyme la perosnne de son enfance au cas ou quelqu'un voudrait s'approprier le rôle

Tout me semble correcte, nous allons vous détacher et vous laisser partir mais avant j'ai besoin d'entendre le mot de passe. Vous le connaissez, il s'est glissé quelque part dans le règlement, allé encore un petit effort et vous retrouverez votre liberté.

Je vous écoute :

OK

Je pense que j'ai terminé, si quelque chose cloche n'hésitez pas à me le faire savoir.

Il y'a sans doute des fautes d'orthographe, je suis pas doué dans le domaine =/

EDIT : alors désolé j'ai tenté 4 fois d'effacer le UC dans le titre de mon premier sujet mais il ne veut pas s'en allez O.o

Waw! Quelle présentation!

Bienvenue dans le clan démon Wink

Bienvenue !

Très belle fiche, j'aime beaucoup ta façon d'écrire, tu es bien évidemment validé.

Bon jeu parmi nous !

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